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7 février 2012 2 07 /02 /février /2012 17:27

Mardi soir 31 janvier , des agents municipaux du Service de la Tranquillité Publique (non, ce n’est pas une blague, c’est bien la dénomination de ce service) ont procédé à l’évacuation d’un squat 98, rue de Vincennes (dans l’ancien hôtel de la Tourelle). Trois personnes ont été jetées à la rue, alors que nous sommes en période de trêve hivernale, avec une température négative. Ces personnes avaient des preuves de présence de plus de 48 heures qui auraient dû les protéger ; c’était normalement à la justice, elle seule, de devoir intervenir, mais la mairie elle, se moque du droit.

La police nationale a laissé faire, et n’a procédé à aucune interpellation. Ces agents municipaux, appartiennent à la direction de la tranquillité publique. Il ne s’agit pas de la police municipale de la ville. Et pour cause, il n’y en a pas. Seuls quatre agents municipaux ont ce statut, ce qui ne permet pas de nommer un directeur de la police municipale. En terme d’affichage, la maire peut donc se targuer de ne pas avoir de police municipale à Montreuil. Ça fait très "gôche" dans le discours. Mais c’est un trompe-l’œil, un mensonge.

Un groupe organisé au service des intérêts politiques de la maire : une milice quoi !*

En réalité, le directeur de la tranquillité publique (qui n’est pas un personnage tranquille...) a constitué un groupe d’agents (au statut souvent précaire, ça évite d’avoir à convaincre) qui se charge ainsi, au gré des oukases de la maire, d’un certain nombre d’inavouables besognes. Tout ça dans un cadre déontologique digne des temps préhistoriques. On tape d’abord, on gaze, on insulte, et on ne discute de toute façon pas. Ah oui, ils disposent de quelques "instruments de persuasion" qui ne sont normalement autorisés qu’aux seuls policiers municipaux.

Imaginons le tableau : le directeur de la tranquillité publique, son chargé de mission (rompu à ce genre de mission, déjà sous l’ancien mandat...), et sa petite troupe, virant violemment trois squatteurs, sous le regard de la police nationale. Ça se passe bien à Montreuil, pas à Nice...

La maire persiste donc à utiliser ce "moyen" illégal de règlements de situations qui l’insupportent. En employant à des postes clés des gens non formés, non assermentés. Et je ne parle pas des simples agents. Ni le directeur de la tranquillité publique, ni son chargé de mission n’ont de toute façon les diplômes suffisants pour diriger une police municipale...

Le droit, la morale, le respect des règles, c’est pour les autres, ça sert à faire la belle sur les plateaux télés, dans les journaux ou à la sauterie grenobloise. A Montreuil, on profite du mauvais côté de la force..

 

http://chroniquesmontreuilloises.over-blog.com

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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 15:51

Salut,

Depuis quasiment deux mois déjà, on est investi-e-s avec pas mal de camarades libertaires sur une grosse lutte sur le logement à Saint-Denis. Début décembre, 2 squatts d’habitation ont été expulsés, mettant à la rue des familles avec enfants, des travailleurs et des travailleuses, dont certain-e-s sont sans-papiers. Nous nous battons avec elles et eux pour la régularisation des sans-papiers et le relogement de tou-te-s. Certain-e-s dorment depuis leur expulsion sur le parvis de la mairie (PCF) de Saint-Denis, qui a demandé et obtenu la possibilité de faire évacuer le campement. Face au grand froid qui arrive et à cette pression des institutions municipales et préfectorales qui travaillent main dans la main, ou presque, pour chasser les pauvres de la ville, nous avons décidé d’augmenter le rapport de force, de façon conjointe avec les expulsé-e-s.

Une manif partira samedi 4 février à 14h du campement des expulsé-e-s, devant la mairie de Saint-Denis (métro Basilique). Il faut vraiment qu’on soit un max de monde pour montrer notre détermination. Nous ne les laisserons pas virer les pauvres, et en particulier celles et ceux d’entre nous qui n’ont pas le faciès ou le nom assez blancs pour leurs critères, loin des centres, hors de la petite couronne parisienne !

Régularisation de tous les sans-papiers ! Relogement de tous les mal-logé-e-s !

(revendications du collectif des expulsé-e-s et de leurs soutiens)

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2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 12:48

Toulouse. Un logement de plus réquisitionné par le CREA

Et de six. Un sixième bâtiment laissé vacant vient d’être réquisitionné à Toulouse. Une semaine après l’ouverture à six familles d’appartements inoccupés près du Grand-Rond par l’association Urgence pour un toit, c’est au tour du CREA (Collectif pour la réquisition, l’entraide et l’autogestion) de prendre possession d’un nouveau bâtiment, situé près de l’avenue Saint-Exupéry, appartenant à la mairie de Toulouse.

http://pix.toile-libre.org/upload/original/1328098906.jpg

« C’est le quatrième pour notre collectif » explique Mathieu Rigouste, membre du CREA. « La réquisition a eu lieu le 23 janvier dernier. Trois familles ont été installées le jour même. Une quatrième vient d’arriver et nous en attendons encore deux autres. » À terme, 25 personnes, pour la plupart des familles de travailleurs précaires, occuperont ces anciens logements de fonction de l’Éducation nationale.

« Nous avons prévenu la mairie. Ils souhaiteraient construire un centre social à la place de cet immeuble d’ici deux ans, mais nous n’en savons pas plus. » Lundi soir, une patrouille de policiers est venue constater l’occupation.

Sur place, les familles bénéficient du chauffage, de l’électricité et de l’eau chaude. « Des employés de chez EDF et GDF sont venus donner un coup de main sur leur temps libre, gratuitement. » Cette réquisition s’inscrit dans la campagne « Zéro enfant dans la rue », lancée par le CREA. Et le mouvement devrait prendre de l’ampleur. « Malgré la vingtaine de familles déjà hébergée, une quinzaine est encore à la rue » poursuit Mathieu. Le collectif doit se réunir vendredi soir dans ses locaux du 70 allées des Demoiselles pour décider des autres actions à mener.

L’adjointe au maire en charge de la politique de la ville, Claude Touchefeu, doit rencontrer le CREA aujourd’hui. Elle n’a pas souhaité s’exprimer avant.

Leur presse (Pierre Peyret, LaDepeche.fr), 1er février 2012.

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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 12:17

Alors que l’État joue à la roulette russe pour se décider à déclencher son « plan grand froid » ( 2°, -3°, 0° ?…) et préfère investir dans la guerre et le sauvetage des banquiers criminels, nous vous annonçons l’ouverture d’un quatrième bâtiment, 12 chemin de Bitet, dans l’avenue saintExupéry à Toulouse. Vides depuis plus d’un an, ces logements de fonction appartenant à la municipalité, ont été réquisitionnés le 23 janvier, pour y accueillir 6 familles forcées de vivre à la rue.

La mairie nous a souhaité « une année chaleureuse et solidaire ». Merci, on va s’en charger nous-mêmes, mais du coup ce serait sympa de ne pas nous envoyer les flics et de nous indiquer tous les bâtiments encore vides.

La misère n’est pas une fatalité, elle est organisée par les gouvernements et la bourgeoisie. Toulouse ne lutte pas seule, à Tours, à Nantes, à Grenoble, à Marseille, à Paris ou à Dijonmais aussi en Europe et partout dans le monde, des galérien-ne-s s’unissent pour reprendre la ville et la partager. Il en va de notre responsabilité à tou-te-s si nous voulons en finir avec l’injustice, l’autorité et l’inégalité. Le peuple n’a besoin ni de chefs, ni de partis, ni de sauveurs. Pour nous émanciper, organisons-nous par nous-mêmes et pour nous-mêmes, par l’entraide et l’autogestion.

Nous avons besoin de nouvelles initiatives et de forces pour continuer. Nous recherchons tous types de soutiens humains et matériels (meubles, électroménager, ustensiles, chauffage, nourriture…) pour la nouvelle réquisition.

D’autre part, il est temps de faire le point sur la campagne « zéro enfants à la rue ! ». Il ne s’agissait pas de focaliser sur les enfants mais d’attaquer le problème par l’angle de l’urgence. Ce sont bien toutes les formes de misère qu’il faut combattre. C’est entre tou-te-s les galérien-ne-s qu’il faut s’allier. Où en est-on, où va-t-on, comment on s’organise pour la suite ? Retrouvons-nous vendredi 3 février à 18h au CREA, 70 allée des Demoiselles, pour en discuter.

Tout pour tou-te-s, pouvoir au peuple !

Centre social autogéré de Toulouse, 29 janvier 2012.

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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 12:08

Salut !

Pas mal de trucs se sont passés cette semaine, et on est toujours en vie! Après l’expulsion du TTGC en grande pompe par le GIPNles habitants de Figuerolles ont pu observer quelques banderoles astucieusement accrochées. Merci à toutes les formes de soutien !

Le très très grand cœur est expulsé, c’est l’hiver mais il en faudra plus pour nous bouter hors de Figuerolles.

Voici d’ores et déjà plusieurs rendez-vous pour la semaine qui vient :

Mardi 31 janvier, projection de L’armée du Crime, de Robert Guediguian. Rendez-vous devant la pleine lune (place Salengro) entre 20h et 20h30 afin d’aller ensemble au lieu de projection (le parcours sera fléché pour les retardataires).

Vendredi 3 février, soirée carnavalesque place Salengro à partir de 21h.

Samedi 4 février à partir de midi, repas de quartier, point info et débats place Salengro (affiche en pièce jointe). Info à diffuser !

http://pix.toile-libre.org/upload/original/1327918549.pnghttp://pix.toile-libre.org/upload/original/1327918168.png

Bisous rageurs

Montpellier Squat, 29 janvier 2012.

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 15:08

http://paris20.noblogs.org/files/2012/01/question-du-logement.png

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 14:00

Salut,

Une belle surprise pour les habitants de Figuerolles, quartier dans lequel se trouve(ait) le Squat Très Très Grand Cœur, expulsé jeudi matin, qui ont pu voir quelques banderoles sur les bâtiments vides de la SERM.

L’info a rapidement circulé, et quelques photos ont été prises.

http://pix.toile-libre.org/upload/original/1327796726.jpg

http://pix.toile-libre.org/upload/original/1327796746.jpg

http://pix.toile-libre.org/upload/original/1327796849.jpg

On peut y lire « Ci-gît le TTCG, squat ayant accueilli des centaines de gens pendant 4 mois. Expulsé le 25/01 par le GIPN sur ordre de la SERM » ou « Bâtiment laissé vide par la SERM. 1 toit pour 10 personnes »

Face à la répression, la solidarité est notre arme !

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23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 12:13

Le squat politique autogéré le Mât-Noir occupé depuis le 12 décembre fut ouvert au public le 17 décembre suite à un rassemblement contre la spéculation urbaine. Ce lieu était inoccupé depuis plusieurs années. L’ouverture de ce squat semble effectivement gêner plusieurs acteurs de l’immobilier et de l’urbanisme, car les menaces d’expulsion arrivent déjà !

Brève explication de la situation : les propriétaires (les sœurs de Notre-Dame de la Fidélitéou l’association Arbalète qui pourrait servir de paravent) voulaient vendre à l’institution Saint-Joseph, qui elle, avait le projet de détruire ce bâtiment afin de construire soit une école maternelle avec gymnase (projet apparemment abandonné depuis) soit 44 logements (projet qui ne fait pas non plus l’unanimité dans le quartier). Il semble que même la mairiese soit opposée à la vente du bâtiment pour préserver le patrimoine. La préfecture semble avoir proposé un pack « expulsion expéditive » (une ordonnance sur requête) aux bonnes sœurs qui ne savaient peut-être même pas qu’il y avait des habitants dans ce lieu. Nous en sommes là, et nous continuerons de communiquer des informations (avec plus de détails espérons).

Les intimidations commencent donc et un homme se prétendant huissier de justice (il n’a pas présenté sa carte) est venu nous menacer de l’expulsion. L’argument de la salubrité est utilisé contre nous, pourtant tous les gens qui sont venus visiter les lieux pourront vous confirmer que ce n’est pas le cas, nous travaillons même activement à l’amélioration des conditions de vie. Nous comptons préserver cette belle bâtisse et en faire un lieu de vie et d’organisation collective.

Il est clair que nous ne nous laisserons pas faire. Si nous avons mis les pieds dans le plat d’une sombre histoire de magouille immobilière et spéculative, nous ne nous priverons pas pour éclabousser ceux qui expulsent. Nous ferons payer le prix fort à ces voyous en col blanc qui comptent s’enrichir sur le dos des gens par la construction de logements. D’autre part, où est la charité chrétienne des bonnes sœurs de Notre-Dame de la fidélité qui ne se soucient pas d’expulser en plein hiver et pendant les fêtes ? N’oublions pas qu’elles sont aussi propriétaires… L’institution Saint-Joseph, constituée des « élites » et notables caennais a la mainmise (une grande part au moins) sur le quartier et n’hésite pas à le transformer selon ses aspirations à faire du fric. Nous n’acceptons pas que des grands financiers et promoteurs agencent nos espaces de vie à leur guise. Nous saboterons ce rouleau compresseur. Quant à la préfecture, certainement bien amie avec l’institution Saint-Joseph (entre élites on se fait des bonnes bouffes !) elle se soucie de la critique de la société que nous apportons, et compte bien nous faire taire. Ce n’est plus une nouveauté, la répression s’abat sur ceux et celles qui parlent ou luttent un peu trop. Nous le savons parfaitement et nous résisterons !

Squat le Mât-Noir, 26 avenue de Creully à Caen
Arrêt de tram Place de la Mare
Contact

Portes ouvertes tous les mercredi de 14h à 18h

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13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 13:24

Angers : Rififi entre soutiens des squatteurs rue Audusson

Les demandeurs d’asile occupent toujours la maison située au 14 de la rue Audusson à Angers.

http://pix.toile-libre.org/upload/original/1323763838.jpg

Quatre d’entre-eux étaient assignés ce lundi au tribunal d’instance. Les juges diront le 22 décembre s’ils doivent être expulsés.

Samedi, l’association Droit au logement a été, en tout cas, expulsée par un groupe d’individus qui a décidé de « squatter le squat ».

http://pix.toile-libre.org/upload/original/1323763852.jpg

Un drapeau noir, symbole anarchiste, flotte désormais sur la façade.

Leur presse (Le Courrier de l’Ouest), 13 décembre 2011.

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 20:58

Sur l’expulsion de la buissonnière.

Lundi 14 Novembre 2011, vers 7H30 du matin, une soixantaine de flics de différents services (RAID, CRS, Police Criminelle, Renseignement intérieur, B.A.C, brigade cynophyle et brigade du déminage) est venue réveiller les habitant-e-s du 3 place Moreau David à Fontenay-sous-Bois à grands coups de béliers. Les barricades n’ont cédé qu’au bout d’un quart d’heure, le temps de se regrouper tous ensemble et de discuter. Nous avons été plaqué-e-s au sol et menotté-e-s par des espèces de robocops masqués. C’est à ce moment que l’un de nous s’est fait refaire gratuitement le nez. Ensuite, ils nous ont conduit-e-s au commissariat de Fontenay.

A défaut de pouvoir anéantir la pratique du squat, la flicaille met ses fiches à jour : le défilé s’est poursuivi avec prises de photos et vidéos par les différents flics présents, et listage des identités des occupant-e-s. Au même moment, le camion d’un des occupants, garé devant la maison est fracturé et perquisitionné sans aucune procédure, et les flics se servent en embarquant clés usb, appareils photos, jerricane d’essence, etc. Dans les heures qui suivent, le portail est défoncé et la maison murée avec une bonne partie de nos affaires dedans.

Même si nous avons été relâché-e-s sans suite, pour nous une expulsion ne peut être qualifiée « sans incident » (selon les mots de la préfecture) car elle représente une violence en elle-même. Le principe même de rentrer chez toi afin de te mettre à la rue est une violence, propre à l’Etat….

Cette violence ne concerne pas que les squats à proprement dit, mais tous les lieux d’habitations évacués et/ou perquisitionnés par les flics.

La Buissonnière a ouvert en février 2011 dans l’ancienne école jeanne d’albret, restée vide pendant plusieurs années. Envisagée comme lieu d’habitation collectif, elle est devenue dès le départ bien plus que cela. C’est plusieurs dizaines de personnes de multiples origines et horizons qui y vivaient et des centaines d’autres qui y sont passées au cours de ces derniers mois pour participer aux différentes activités qui y ont pris place : ateliers divers, projections, débats, assemblées, soirées, rencontres, bouffes, concerts de soutiens, etc... Si nous squattons un lieu, c’est pour l’habiter, c’est à dire pas seulement pour se loger, mais surtout pour pouvoir s’organiser, se rencontrer, et pour lutter contre ce monde où toute relation sociale est soumise au rapport marchand.

Tout au long de l’occupation, comme on pouvait s’y attendre, l’attitude des différentes autorités de la ville nous est devenue de plus en plus hostile à mesure que la Buissonnière affichait ouvertement sa volonté d’autonomie et son refus de toutes médiations. L’attitude des flics a consisté en un harcèlement de plus en plus fréquent du lieu (notamment lors de soirées) se traduisant par des contrôles d’identité réguliers aux abords de la maison.

Cette pression quotidienne a conduit à l’arrestation de trois copains et à l’emprisonnement de l’un deux, sans papiers, condamné à 4 mois fermes pour outrage à agent. Le procès de la maison, reporté deux fois de suite, a eu lieu le 14 octobre et a abouti sur une expulsion immédiate, bien que l ’argument principal - le rachat par la mairie pour construire crèche et logements sociaux - ait été invalidé par l’avocate de la défense. En effet la maison est désormais un site classé, et risque ainsi de rester vide encore plusieurs années….

Le fait d’êtres catalogué-e-s anarchistes a été la seule véritable base de cette expulsion. Huissiers, mairies, juges, procureurs, proprios, agents immobiliers, flics et autres porcs n’y pourront rien : pour nous, contre les expulsions, il n’y a pas lieu de s’indigner, il faut s’organiser et agir directement.

Un squat d’expulsé, dix d’ouverts ! Grève des loyers ! Abolition de la propriété privée ! On veut des maisons, pas des prisons ! PLUTOT SQUATTEURS QUE FLICS !

Les occupant-e-s de la buissonnière en exil.

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A L’assaut Du Ciel!

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